Chapeau panama - L'élégance au naturel
Plongez dans l'univers sophistiqué du chapeau Panama, un accessoire emblématique alliant tradition et style. L'accessoire idéal pour vos escapades en plein air. Fabriqués à la main en Équateur avec de la paja toquilla, nos modèles vous offrent légèreté, solidité et style. Adoptez dès maintenant cet incontournable pour une protection élégante contre le soleil.
Pourquoi dit-on le chapeau panama ?
Le nom "chapeau Panama" est né d'une confusion historique. Alors que ces chapeaux étaient traditionnellement tissés en Équateur, ils ont gagné en popularité lors de la construction du canal de Panama au début du 20e siècle. Les ouvriers les portaient pour se protéger du soleil brûlant. Lorsque le président américain Theodore Roosevelt est venu visiter le chantier en 1906, il a été photographié portant un chapeau Panama, ce qui a contribué à leur renommée mondiale.
Quand et comment porter un chapeau panama ?
Le chapeau Panama est un accessoire polyvalent qui peut être porté dans une variété de situations. Il est idéal pour se protéger du soleil lors de vos escapades estivales, que ce soit à la plage, en ville ou lors de festivals en plein air. Il ajoute une touche d'élégance décontractée à toute tenue, qu'elle soit formelle ou décontractée. Portez-le avec une chemise légère et un pantalon en lin pour un look estival chic, ou associez-le à un costume léger pour une allure sophistiquée lors d'événements en plein air.
La fibre de paja toquilla
La fibre de paja toquilla, également connue sous le nom de palmier jipijapa, est le matériau traditionnellement utilisé pour fabriquer les chapeaux Panama. Cette fibre est extraite des feuilles d'un palmier originaire d'Équateur. La récolte, le traitement et le tissage de la paja toquilla sont des processus artisanaux qui exigent une grande habileté et une connaissance approfondie. Le résultat est un chapeau léger, souple et résistant, qui offre une protection efficace contre le soleil tout en restant confortable à porter pendant de longues périodes.
